Publié le : Dernière Mise à jour : 25.08.2017Par : N. C.Lecture : 2 min.
« Des instances de concertation nationale, régionales et territoriales pour l’élaboration de la politique de soin et de prévention psychologique des enfants » et la nomination d’un « interlocuteur ministériel identifié au niveau de l’Etat ». Ce sont deux des dix propositions formulées à l’issue des « états généraux de la pédopsychiatrie » coordonnés par plusieurs organisations le 4 avril (1). Autre demande issue des débats de cette journée qui a rassemblé plus de 600 personnes, professionnels et familles : « le réajustement des moyens là où le délai d’accès aux soins est trop long ». Les organisations souhaitent également que les pouvoirs publics soutiennent « le développement de dispositifs différenciés et spécialisés » tels que les unités de psychiatrie périnatale, les consultations dédiées aux adolescents ainsi que les centres d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP), les hôpitaux de jour et les unités d’hospitalisation intensive. « Pour qu’il n’y ait plus d’hospitalisation par défaut en pédiatrie ou en psychiatrie adulte », justifient les professionnels. Face à la diminution du nombre de psychiatres, ils réclament l’ouverture d’une concertation pour revaloriser leurs statuts.Les…
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