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Act Up-Paris et AIDES contraintes au plan de survie

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« Act Up-Paris meurt, l’épidémie se porte bien. » Le message de l’association emblématique de la lutte contre le sida sonne comme un avis de décès au lendemain du 20e anniversaire du Sidaction. Après trois mois de chômage technique de ses salariés liés à la baisse des subventions publiques qui lui sont allouées (1), l’association a décidé de se placer en redressement judiciaire « pour éviter de disparaître », indique Ludovic Chéné, responsable de l’administration technique et financière. « Par manque de moyens financiers et face au silence assourdissant des pouvoirs publics, nous allons limiter nos activités », poursuit-il. Deux actions de l’association vont être suspendues : le travail de « plaidoyer international » qui vise à faciliter l’accès des pays du Sud aux médicaments génériques et les réflexions menées, notamment avec le ministère de la Justice, sur la séropositivité en prison (suspension de peine pour raisons de santé, échanges de seringues en prison). Act Up-Paris restera mobilisée sur la prévention, l’information thérapeutique (les traitements et la recherche) et les droits sociaux pour les malades. L’association s’apprête à remettre à plat son projet associatif en ce…
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