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« Il faut proposer des médiations numériques partout où cela est possible »

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L’usage massif des appareils connectés pourrait laisser croire que la société du numérique est désormais ouverte à tous. Le constat que dresse Valérie Peugeot, vice-présidente du Conseil national du numérique, est plus nuancé. Les inégalités restent vives dans la maîtrise des nouvelles technologies. Elle plaide pour une meilleure inclusion dans la société numérique.
Dans le rapport que vous avez piloté (1), vous affirmez que nous devons nous « affranchir du concept de fracture numérique ». Dans ce secteur, les inégalités auraient-elles disparu ?Nous ne sommes plus dans les années 1990 et 2000 où, en caricaturant un peu, on pensait qu’apprendre aux gens à écrire sous Word et à envoyer un e-mail était suffisant. Mais cela ne signifie évidemment pas qu’il n’y ait plus d’inégalités. La question est en réalité quantitativement plus réduite, mais qualitativement plus aiguë. Aujourd’hui, à peu près 20 % de la population n’est pas connectée, et ce pourcentage diminue encore avec la diffusion des smartphones et des tablettes numériques. Mais plus il se réduit et plus cela peut être vécu comme une forme de marginalisation supplémentaire, voire de stigmatisation,…
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