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Le Commissariat général à l’égalité des territoires divise

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La création du Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET) regroupant la délégation à l’aménagement du territoire (DATAR), le secrétariat général du comité interministériel des villes (SG-CIV) et l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des territoires (ACSé) (voir ce numéro, page 44), ne fait pas l’unanimité. Le regroupement de ces trois instances au sein d’une administration centrale est « positif », juge Patrice Allais, président du Réseau Amadeus (Association des missions d’aménagement et de développement économique urbain et solidaire), selon qui cette nouvelle entité doit permettre une plus grande « transversalité » des politiques à destination des quartiers sensibles comme des zones rurales. Si les publics de ces territoires sont différents, les enjeux peuvent se rejoindre, « notamment en ce qui concerne la participation des habitants », axe principal de la réforme de la politique de la ville adoptée en février (1). Par ailleurs, alors que l’un des enjeux de cette réforme, que le commissariat va devoir mettre en musique, « est de mobiliser des outils de droit commun », le rattachement de ce dernier au Premier ministre « lui donne du poids et des moyens…
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Politique économique et sociale

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