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Reprise des expulsions : pour les associations, un moratoire s’impose

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Le Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal logées a déploré, à la fin de la trêve hivernale, les failles persistantes du dispositif d’hébergement et de la prévention.
En dépit de l’« actualité bouillonnante » au lendemain des élections municipales, le Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal logées ne « pouvait pas ne pas marquer cette date symbolique » de la fin de la trêve hivernale des expulsions locatives – « synonyme de “peur au ventre” pour des milliers de ménages », a souligné Christophe Robert, délégué général adjoint de la Fondation Abbé-Pierre, lors d’une conférence de presse organisée le 31 mars dans les locaux d’un centre parisien d’hébergement d’Emmaüs Solidarité.De nouveau, les représentants du collectif ont pointé le décalage entre les « bonnes intentions » affichées par le gouvernement et la réalité du terrain. Certes, les aménagements et les évolutions introduites par la loi relative à l’accès au logement et à un urbanisme rénové (ALUR) vont « dans le bon sens » et 7 000 places d’hébergement…
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Logement – Hébergement

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