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Contrat de sécurisation professionnelle et indus : le médiateur de Pôle emploi appelle à la vigilance

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« Lorsqu’un médiateur rédige un rapport, il est prévisible qu’il décrive des difficultés, des misères soulagées et pointe des erreurs à ne plus commettre. C’est la loi du genre! Lorsqu’il s’agit du médiateur national de Pôle emploi, c’est alors à une litanie d’horreurs qu’on se prépare, tant le chômage et tout ce qui s’y rapporte est véhiculé comme le symbole de la souffrance de la France en 2014. » C’est donc, selon ses propres termes, « en toute objectivité », que Jean-Louis Walter, le médiateur national de Pôle emploi, publie son rapport 2013 où il pointe, comme chaque année, « ce qui ne va pas » – c’est-à-dire « sa perception de l’ambiance du moment » : la violence, l’urgence, le chômage persistant, etc. –, mais aussi les points d’amélioration constatés. Et formule de nouvelles recommandations pour améliorer le service rendu aux demandeurs d’emploi.Jean-Louis Walter vise notamment les limites du contrat de sécurisation professionnelle (CSP) (1) qui, selon lui, s’il « est avantageux pour le demandeur d’emploi », peut aussi entraîner son exclusion du dispositif lorsqu’il « a mal compris ou mal été informé des quelques subtilités réglementaires, notamment la reprise de courtes périodes…
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