Recevoir la newsletter

En bref – Salles de consommation de drogues à moindre risque

Article réservé aux abonnés

L’Académie de pharmacie a pris position contre l’ouverture de ces lieux, destinés, selon leurs défenseurs, à réduire la consommation dans les lieux publics et la transmission du virus du sida et de l’hépatite C par le biais de seringues usagées. L’Académie justifie son « avis défavorable » par le fait qu’il n’est « pas possible de garantir la qualité, l’identité et la non-contamination des produits injectés » et que « l’objectif est de venir en aide à ces patients et non d’entretenir leurs addictions ». Elle demande dès lors un « renforcement des moyens alloués aux centres de soins pour toxicomanes et aux unités d’addictologie ».Rappelons que le projet d’ouverture de la première salle expérimentale à Paris a été bloqué à l’automne 2013 par le Conseil d’Etat, qui a recommandé au gouvernement d’élaborer au préalable une loi spécifique sur ce sujet (voir ASH n° 2829 du 18-10-13, page 22). Selon la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT), celle-ci serait en préparation (voir ASH n° 2845 du 31-01-14, page 10).
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur