Reconnaître la richesse des associations d’usagers en santé mentale
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 2 min.
« On assiste à une instrumentalisation de la parole des anciens patients : on les fait témoigner dans des colloques ou dans les médias à titre individuel, sans aucun suivi, alors que la Fnapsy [Fédération nationale des associations d’usagers en psychiatrie] est justement là pour intervenir au nom d’un collectif », déclarait Claude Finkelstein, ex-présidente et aujourd’hui directrice de cette fédération, dans une récente interview aux ASH(1). Six organisations d’usagers en psychiatrie et santé mentale (2) se disent « choquées » par ces propos, estimant qu’ils font l’impasse sur les autres associations d’usagers dans ce secteur.
« Cette déclaration nie la représentation indépendante des usagers patients et ex-patients de la psychiatrie, par nos associations dans leur diversité, qui existe et qui s’exprime bel et bien en France depuis de nombreuses années […]. Nos associations apportent aux débats sur les questions de psychiatrie et de santé mentale une contribution riche de leurs diversités et de leurs compétences acquises par l’expérience…
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