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« Une juridiction sociale digne de ce nom doit être pilotée par des magistrats spécialisés »

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En France, les juridictions sociales rendent chaque année autant de décisions que les juridictions pénales. Un travail essentiel réalisé dans des conditions souvent difficiles. Ancien ministre et avocat des mineurs, Pierre Joxe dénonce dans un ouvrage le manque de moyens de ces juridictions et propose une vaste réforme afin d’améliorer la qualité de cette « justice pauvre pour les pauvres ».
Comment en êtes-vous venu à vous intéresser aux juridictions sociales ?Elles sont mal connues, même chez les professionnels de la justice. Certains magistrats professionnels n’ont jamais eu aucun contact avec le droit social. Personnellement, c’est le hasard de mes fréquentations aux tribunaux pour enfants qui m’a fait découvrir cette justice. J’y ai rencontré de nombreuses personnes, souvent des mères de mineurs à la dérive, complètement déboussolées face à des affaires complexes de droit du travail, de prestations sociales ou encore d’incapacité.Que désigne l’appellation « juridictions sociales » ?Elle recouvre l’ensemble des juridictions contribuant à l’application et au contrôle du respect du droit social. Ce sont, bien sûr, les 209 conseils de prud’hommes…
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