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Plan pauvreté : les associations espéraient plus qu’un maintien de cap

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« Les intentions sont bonnes, le discours a changé, mais les avancées sont lentes et les moyens trop faibles. Il y a un décalage entre l’urgence des besoins, d’une part, et, d’autre part, le temps de mise en œuvre et l’articulation des dispositifs sociaux qui peuvent produire du changement. » Le constat de Bernard Schricke, directeur de l’action France et Europe du Secours catholique, résume le sentiment mitigé des acteurs de la lutte contre l’exclusion à l’issue du discours du Premier ministre, le 24 janvier, sur le bilan de l’an I du plan pluriannuel contre la pauvreté et la « feuille de route » 2014 (voir ce numéro, page 5).Un sentiment sans doute nourri par la confusion qu’a engendré un changement de programme tardif. Alors que les associations s’attendaient, comme annoncé et prévu par le plan, à la tenue d’un comité interministériel de lutte contre les exclusions, Jean-Marc Ayrault a préféré formuler ses annonces lors d’un déplacement à Cergy-le Haut (Val-d’Oise). A Matignon, on défend que, la « feuille de route » étant le fruit d’un travail interministériel, l’idée a prévalu de privilégier un déplacement devant les acteurs concernés, « dans un esprit de mobilisation générale ».…
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