Recevoir la newsletter

Les services sociaux « oubliés » de la réforme de l’éducation prioritaire, selon le SNUAS-FP-FSU

Article réservé aux abonnés

La réforme de l’éducation prioritaire, présentée le 15 janvier par Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale (1), a « oublié » les services sociaux, déplore le Syndicat national unitaire des assistants sociaux de la fonction publique (SNUAS-FP)-FSU. Certes, les futurs réseaux d’éducation prioritaire les plus difficiles (REP +) qui vont remplacer les actuels réseaux « ECLAIR » seront dotés d’un assistant social, mais ce dernier devra « aussi intervenir dans les écoles primaires du secteur », regrette Samuel Delepine, secrétaire national du syndicat. Pour lui, le retour des assistants sociaux dans le primaire nécessite des moyens supplémentaires « sans redéploiement du second degré vers le premier degré ». Rappelant que l’Education nationale ne compte que 2 700 assistants sociaux pour 15 000 établissements, il estime que ce plan est « une occasion ratée de renforcer les services sociaux » dans les établissements scolaires. C’est « une grosse déception : alors que l’enquête PISA [Programme international pour le suivi des acquis des élèves] montre que les difficultés sociales ont une incidence énorme sur la ré

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15