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Dix propositions pour améliorer la fin de vie des personnes âgées

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Eclairer les « zones d’ombre » de la fin de vie des personnes âgées et apporter des solutions « concrètes et peu coûteuses » pour éviter un « véritable naufrage social ». Tel est l’objectif du dernier rapport annuel de l’Observatoire national de la fin de vie (ONFV) remis le 21 janvier à la ministre de la Santé, Marisol Touraine, et à la ministre déléguée chargée des personnes âgées, Michèle Delaunay (1).Alors que, « aujourd’hui, la façon la plus courante de finir sa vie est […] de mourir vieux », « notre société tente de repousser non seulement la mort mais aussi son image », souligne Régis Aubry, président de l’observatoire, en avant-propos du rapport. Ainsi, explique-t-il, tandis qu’une tendance au « jeunisme » conduit la publicité et les médias à représenter des personnes âgées « toujours jeunes », la « médicalisation du vieillir » permet de vivre soit « bien mieux et bien plus longtemps en étant âgé », soit plus longtemps mais « de façon difficile aux plans médical, social et familial… » tout en souffrant d’une maladie chronique grave ou d’une perte d’autonomie progressive, soit – encore et « surtout » – seul et isolé, y compris dans un « isolement en masse » au sein des structures…
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