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Témoignage sans pathos

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L’auteur des photos de l’exposition « Vieillir libre »(1) qui montrent des personnes âgées dans leur quotidien, c’est lui. Et de celles d’aînés isolés partant en vacances grâce aux Petits Frères des pauvres, aussi(2). Jean-Louis Courtinat a également participé à des expositions collectives sur le thème des adolescents en rupture(3) et des soins palliatifs(4). Il est l’un des rares photographes qui se consacrent corps et âme à la photographie sociale – depuis trente ans, pour sa part. Né en 1954, il débute dans la presse locale avant d’avoir le « déclic » en ouvrant un livre de W. Eugene Smith sur une sage-femme ayant passé sa vie à soigner les habitants les plus démunis d’un petit village des Etats-Unis. « D’un seul coup, je venais de trouver ma voie. C’est cela que je voulais faire, m’engager auprès des autres. Défendre leur cause. Dénoncer, certes, mais aussi louer, célébrer. » Il devient l’assistant de Robert Doisneau en 1986. S’il accepte volontiers d’accompagner l’artiste dans ses déambulations parisiennes, Jean-Louis Courtinat se rend compte que la photo de rue, prise sur le vif, n’est pas pour lui, car il ressent le besoin de s’installer longuement aux côtés des sujets qu’il…
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