Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Par : É. V.Lecture : 2 min.
« Il s’agit d’un grand tournant », pour Michel Hug, son sécrétaire national. Centres communaux d’action sociale, groupements d’intérêt public (GIP) et acteurs individuels peuvent désormais adhérer au CNLAPS, dont l’acronyme signifie, depuis le 27 juin dernier, « Comité national de liaison des acteurs de la prévention spécialisée ». En remplaçant le terme « associations » par celui d’« acteurs », l’assemblée générale permet à tous les acteurs de la prévention spécialisée de s’unir « pour la promouvoir et démontrer son utilité sociale ». « Au moment de la création du CNLAPS, en 1972, la prévention spécialisée était essentiellement portée par des mouvements associatifs et le comité fédérait une multitude de structures, souvent de petite taille, disséminées sur le territoire. On constate que, depuis une dizaine d’années, les conseils généraux confient la mise en œuvre de la prévention spécialisée à des acteurs non associatifs, dont certains aspiraient à nous rejoindre, explique Michel Hug. Dans le travail de terrain, les éducateurs de la prévention spécialisée tentent d’amener les jeunes à s’ouvrir aux autres. De la même façon, nous avons choisi de nous ouvrir car cela nous enrichit et…
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