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La fermeté, pas la fermeture

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Face à la poussée des requêtes à caractère religieux de la part des jeunes qu’elle héberge, la MECS Foyer Pargaminières, à Toulouse, a engagé une réflexion sur la laïcité et révisé les documents qui encadrent son action éducative.
Il y a tout juste un an, Ali Benarfa, directeur de la maison d’enfants à caractère social (MECS) Foyer Pargaminières (1), à Toulouse, amendait le contrat de séjour, le document individuel de prise en charge et le règlement de fonctionnement de la structure. Y figurent à présent les éléments suivants : « Sont interdits les signes et les tenues qui manifestent ostensiblement une appartenance religieuse tels que le voile islamique, quel que soit le nom qu’on lui donne, la kippa ou une croix de dimension excessive », et : « Conformément à la charte des droits et libertés de la personne accueillie, l’usager a le droit de pratiquer sa religion et dans un même temps de ne pas être exposé à du prosélytisme. Cependant, la pratique de la religion doit pouvoir s’exercer sans occasionner de perturbation dans l’organisation quotidienne de l’établissement : activités, sorties, repas… » S’il était devenu nécessaire, pour cet établissement…
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