Recevoir la newsletter

SBIM et SBAM

Article réservé aux abonnés

Derrière ce titre énigmatique sonnant comme une paire de gifles, un coup de gueule contre l’infantilisation des professionnels et la mise à mal de l’éthique. Son auteur : Gilles Cervera, psychanalyste institutionnaliste et formateur (1).
« SBIM et SBAM sont dans un bateau, la suite est archiconnue. L’inconnue, en revanche, c’est jusqu’où va-t-on aller dans cette logique d’industrialisation du social ? Où sera la limite ? Puisque nul n’ignore que les deux, à la fin des fins, tombent à l’eau.SBIM est moins connu, mais SBAM est un acronyme en usage de bas en haut dans les services régaliens ou territoriaux. SBAM fait voler en éclat ce qu’il pourrait rester d’autonomie au travailleur, social ou non, mais restons centrés sur ceux qui mettent tout en œuvre, s’engagent, risquent quelque chose d’eux auprès des personnes les plus cassées. On dirait qu’on veut les casser tous, les aidants et les aidés, et SBAM n’y est pas étranger.Le retour du refouléSBAM, c’est ce qu’on nomme en industrie, un process. S pour “s’il vous plaît”. B pour “bonjour”. A pour “au revoir” et M pour… devinez ! Rappelez-vous, enfant, on vous l’a…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Vos idées

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur