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Résorption des bidonvilles : le travail social en tension

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Chargées par les services de l’Etat de réaliser les diagnostics sociaux prévus par la circulaire du 26 août 2012, les associations sont prises en étau dans les contradictions politiques. La délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL) espère tout de même faire évoluer les méthodes.
Commande publique liée à des enjeux de sécurité et de politique migratoire, délais contraints, marges de manœuvre mi­nimes… Le cadre qu’a fixé la circulaire interministérielle du 26 août 2012 sur l’anticipation et l’accompagnement de l’évacuation des campements illicites concentre à peu près tous les ingrédients des injonctions paradoxales faites au travail social. Le texte part pourtant d’une bonne intention : améliorer le sort des habitants des bidonvilles, majoritairement des Roms originaires de Roumanie et de Bulgarie. Si la circulaire rappelle en premier lieu la fermeté du gouvernement pour faire exécuter les décisions de justice d’expulsion, elle invite les préfets, par ailleurs appelés à créer des instances de concertation, à faire réaliser en amont un diagnostic global et individualisé des besoins des occupants en matière…
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