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La Fondation Abbé-Pierre étudie l’impact de la précarité énergétique sur la santé

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Vivre dans un appartement in­suffisamment chauffé aggrave-t-il l’état de santé ? Travailleurs sociaux et techniciens se posent régulièrement la question. La Fondation Abbé-Pierre a voulu en avoir le cœur net en initiant une étude sur le sujet. Des enquêtes menées en 2011-2012 dans l’est héraultais puis dans le Douaisis en 2012-2013 (1) ont ­comparé deux groupes de personnes défavorisées, l’un en situation de précarité énergétique (factures impayées, demandes de relogement liées aux difficultés à se chauffer), l’autre pas. Résultat ? Une fois les effets de l’âge, du niveau de pauvreté, du tabagisme et de la présence de moisissures dans le logement pris en compte, des dif­férences existent.Les pathologies aiguës hivernales comme les rhumes et les angines, la grippe ou les gastro-entérites sont significativement plus fréquentes chez les personnes exposées. Quant à leurs enfants, ils souffrent plus fréquemment de rhinorrhées, d’irritations oculaires et de sifflements respiratoires. Les logements concernés sont plus anciens que ceux des autres ménages. Les pièces d’eau manquent de bouches de ventilation ou, quand elles existent, celles-ci sont souvent obstruées. Les fenêtres sont moins…
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