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Affaire Baby-loup : soulagement après l’arrêt de la Cour de cassation

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Même si le feuilleton juridique n’est pas clos puisque l’ex-salariée devrait à nouveau se pourvoir en cassation, la cour d’appel de Paris a levé le malaise qu’avait entraîné l’arrêt de la Cour de cassation dans l’« affaire Baby-loup ». Contrairement à la Haute Juridiction et considérant qu’il ne portait pas atteinte à la liberté religieuse et n’était en rien discriminant, elle a validé le licenciement pour faute grave de l’éducatrice de jeunes enfants de la crèche associative, qui avait refusé d’ôter son voile dans l’exercice de ses fonctions (1). « Un grand soulagement » pour Natalia Baleato, directrice de la structure, qui, après cinq ans de contentieux, évoque « un arrêt sage, de pacification, qui va permettre au personnel de se recentrer sur son travail auprès des enfants et des familles ». Et de regretter qu’avec le tourbillon médiatique et juridique qui l’a emportée, Baby-loup soit devenue aux yeux de nombreux habitants une crèche contre l’islam, « alors même que son projet vise le vivre ensemble, quelles que soient les origines et les confessions ». Insultes, menaces, pressions, la situation est telle que la crèche quittera ses locaux de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) le 31 décembre…
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