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Lutte contre les violences faites aux femmes : mieux prendre en compte les problèmes liés à l’exil

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Quelques jours après la présentation du quatrième plan de lutte contre les violences faites aux femmes (voir ce numéro, page 5), six associations consacraient leur partenariat pour œuvrer contre les violences subies par les femmes étrangères et immigrées. A la fin de l’année se terminera en effet un programme de formation, d’information et de sensibilisation engagé il y a deux ans par le CNIDFF (Centre national d’information sur les droits des femmes et des familles), le GAMS (Groupe pour l’abolition des mutilations sexuelles), Voix de Femmes, la Cimade, le Mouvement du Nid et l’ADRIC (Agence de développement des relations interculturelles pour la citoyenneté). Leitmotiv de ce réseau de partenaires : l’accès au droit et l’accompagnement des victimes de violences conjugales, de mariages forcés, de mutilations sexuelles, de crimes dits « d’honneur ». « Elles sont subies dans un contexte de vul­nérabilité des femmes lié à la précarité, la non-maîtrise de la langue française, la peur de faire des démarches administratives, la crainte de se voir retirer un titre de séjour accordé au titre du regroupement familial », explique Annie Guilberteau, directrice générale du CNIDFF. Et les violences…
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