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Gratification : les étudiants se coordonnent pour engager un rapport de forces

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L’histoire se répète : les pouvoirs publics ont à nouveau réussi, faute de gestion cohérente du dossier de la gratification, à fédérer contre eux les professionnels en formation. Reprenant le flambeau de celle qui s’était créée en 2008 lors de la parution du décret instaurant une rétribution minimale des stagiaires, la Coordination nationale des étudiants en travail social (1) s’est constituée les 16 et 17 novembre à Rennes. Les élèves de 24 écoles (avec une forte représentation des régions Ile-de-France et Rhône-Alpes, mais aussi de plusieurs villes de province) avaient fait le déplacement. Une création qui s’inscrit dans la suite logique des nombreuses mobilisations étudiantes – manifestations, grèves, actions – qui émaillent le territoire depuis le mois d’octobre.« Le bilan de la situation est catastrophique, rapporte Arthur Pellan, l’un des cinq porte-parole de la coordination. Les étudiants doivent faire face à des stages différés, des suspensions voire des reports de formation. Nous avons des témoignages d’élèves de 3e année qui, n’ayant pas trouvé de stage, n’ont pas pu se présenter à l’examen du diplôme d’Etat. A d’autres, on a proposé de faire une année supplémentaire. » Il…
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