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« Affaire Leonarda » : quelles améliorations pour les droits des familles sans papiers ?

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Nul doute que le contexte – la tension politique autour des campements de Roms, la « violation » du périmètre de l’école par les forces de police – a pesé dans l’emballement médiatique autour de « l’affaire Leonarda ». La collégienne de 15 ans, « prise en charge » par les forces de l’ordre lors d’une sortie scolaire, a été expulsée avec sa mère et ses cinq frères et sœurs le 9 octobre, après que son père a été reconduit à la frontière. De fait, la mobilisation sur ce dossier, particulièrement complexe, s’est avéré risquée à la fois pour les associations militantes et pour le chef de l’Etat, dont la réponse – l’invitation à la jeune fille de revenir seule –, a suscité la fronde dans sa majorité, jusqu’à fragiliser le gouvernement.Conditions flouesQuels enseignements tirer de ce cas particulier, qui a relancé le débat sur la politique migratoire et le projet de loi sur l’immigration, dont le calendrier pourrait être du coup accéléré ? Le gouvernement, qui n’a jamais caché refuser d’ouvrir les vannes d’une régularisation massive, a, en novembre 2012, diffusé une circulaire visant à clarifier les critères de régularisation au cas par cas des étrangers sans papiers, dont les parents d’enfants…
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