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Réforme pénale : une « première étape » qui a du mal à convaincre

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Pas assez ambitieux, le projet de loi relatif à la prévention de la récidive et à l’individualisation des peines (1) ? Tandis que la garde des Sceaux reconnaissait, le 10 octobre sur France Inter, qu’il n’avait pas été « politiquement possible » d’aller plus loin dans cette « première étape », les organisations professionnelles ne baissent pas la garde. Dans un courrier adressé au Premier ministre le 8 octobre, les membres du collectif Liberté égalité justice (2), qui s’inquiètent de l’échéance tardive de l’examen parlementaire (à partir du 8 avril 2014) et du report de la réforme de la justice des mineurs, demandent à être reçus pour présenter leurs propositions. Parmi les améliorations souhaitées : l’abrogation de la rétention de sûreté et l’instauration de dispositions pour favoriser « réellement les aménagements de peine afin que ce texte ne se limite pas à une pétition de principe ».Recul inquiétantL’Association nationale des juges de l’application des peines (ANJAP) – lesquels seront avec les SPIP (services pénitentiaires d’insertion et de probation) les pièces maîtresses de la réforme – n’est pas moins sévère. « Mieux vaut ne pas faire de réforme » qu’en faire une qui prévoit…
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