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La précarité, motif de discrimination ? L’idée progresse grâce à ATD quart monde

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Après la journée mondiale du refus de la misère et la publication d’un « testing » à l’embauche par ATD, les parlementaires pourraient se pencher sur l’inscription de la précarité sociale parmi les motifs prohibés de discrimination.
« Ensemble, vers un monde sans discrimination. » C’était, cette année, le mot d’ordre lancé par les Nations unies pour la journée mondiale du refus de la misère, le 17 octobre. L’occasion, pour ATD quart monde notamment, de faire avancer un combat vieux de plusieurs années : la reconnaissance officielle de la discrimination pour précarité sociale, à côté des 19 autres motifs inscrits dans le code pénal (1). Après la recommandation de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (2), le défenseur des droits, Dominique Baudis, devait le 17 octobre, lors de la traditionnelle cérémonie du parvis des Droits de l’Homme, place du Trocadéro à Paris, soutenir cette idée et inviter les parlementaires à travailler en ce sens. « Le temps est mûr, et le temps est urgent », estime Bruno Tardieu, dé­légué national d’ATD quart monde, qui n’a de cesse de témoigner de cas de stigmatisation, d’exclusion et de vexation…
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