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Accompagnement des jeunes errants : changer de paradigme

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Zonards, punks ou travellers, quelques milliers de jeunes évoluent aux marges de la société. Soucieux de ne pas les laisser en déshérence, des acteurs sociaux s’emploient à faire un bout de chemin à leurs côtés. Avec souplesse et inventivité, loin de tout acharnement éducatif.
Travail de rue, anonymat, libre adhésion, les modalités d’intervention de la prévention spécialisée en font un outil privilégié pour aller à la rencontre des jeunes errants. Mais les équipes sont de plus en plus centrées sur les publics des quartiers périphériques, « avec parfois des limitations explicites aux moins de 18 ans [“cible” de l’aide sociale à l’enfance] et aux jeunes qui résident dans les périmètres pour lesquels une action est conventionnée » par le conseil général, font observer les sociologues Marie-Xavière Aubertin et François Chobeaux. Il y a en revanche peu d’éducateurs dans les centres-villes, « en contact avec les regroupements de jeunes en rupture sociale et avec les grands adolescents locaux qui les fréquentent. C’est pourtant là un des lieux majeurs pour la construction d’actions de prévention et de soutien en matière d’errance active », soulignent…
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