Renouvellement des relations entre l’Etat et les associations : une doctrine à éclaircir, selon l’Uniopss
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Publié le : Dernière Mise à jour : 06.09.2017Par : Maryannick Le BrisLecture : 4 min.
Tout en se félicitant des projets qui visent à mieux soutenir la vie associative, l’union s’inquiète de tendances contradictoires, notamment sur les crédits et la fiscalité du secteur sanitaire et social privé à but non lucratif.
Reconnaissance, confiance, dialogue… Le gouvernement « Ayrault » a-t-il amorcé un « virage » d’ampleur pour la vie associative ? C’est l’une des questions soulevées par l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux), à l’occasion de sa conférence de presse annuelle de « rentrée sociale », le 24 septembre. Car entre le soutien affiché au secteur non lucratif et les contraintes budgétaires qui se poursuivent voire s’accroissent – dans les champs de l’aide à domicile, habilité justice, de l’hébergement ou de la prévention spécialisée notamment –, « la doctrine », selon le mot de Dominique Balmary, président de l’union, reste à éclaircir.Reconnaître l’utilité socialeParmi les textes qui témoignent d’une volonté de renouveler les rapports entre l’Etat et les associations : le projet de loi sur l’économie sociale et solidaire (ESS), qui devrait être examiné à…
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