Publié le : Dernière Mise à jour : 08.09.2017Par : C.S. D.Lecture : 2 min.
Même s’il reste encore peu développé, le GCSMS (groupement de coopération sociale et médico-sociale) est souvent cité en exemple en matière de stratégie de survie associative.
Face aux difficultés du secteur de l’aide à domicile, l’Aradopa-UNA de Reims (420 salariés) a décidé de mettre en commun son administration (ressources humaines, comptabilité-finance, qualité et communication-développement) avec une association plus petite située à Châlons-en-Champagne en constituant un GCSMS (1) : la nouvelle structure va salarier les personnels administratifs et fournir des prestations contre facturation. Objectif : le retour à l’équilibre budgétaire en 2014 avec des économies attendues de 100 000 €. « Nous avons opté pour cette formule car elle a de multiples avantages : aval de nos partenaires publics, conservation de l’autonomie des membres, non-assujettissement à l’impôt et possibilité pour d’autres acteurs médico-sociaux privés ou publics (CCAS, pharmacie, professions libérales…) de nous rejoindre », commente David Lemaire, son directeur général.Assurer la pérennité des associations adhérentes et dégager des marges de manœuvre financières au service…
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