Recevoir la newsletter

Changement de cap pour la réinsertion des condamnés ?

Article réservé aux abonnés

Si le projet de loi annoncé par le Premier ministre tient la promesse de créer une nouvelle peine en milieu ouvert, il suscite déjà certaines réserves. Et sa mise en œuvre risque d’être contrainte par l’étau budgétaire.
Entre avancées attendues de longue date et décisions à revoir, les arbitrages annoncés par le Premier ministre sur le projet de loi « de lutte contre la récidive » (voir ce numéro, page 5) reçoivent un accueil mitigé des acteurs judiciaires et ceux de la réinsertion des détenus. L’abrogation des peines plancher, la fin de la révocation auto­matique des sursis, la création de la « contrainte pénale », l’examen de la situation des condamnés aux deux tiers de la peine en vue d’une libération conditionnelle « sous contrainte » dessinent les contours de la nouvelle orientation promise depuis la conférence de consensus sur la prévention de la récidive de février dernier (1). Autant de mesures qui « répondent à la nécessité de revenir au principe d’individualisation de la peine dont nous demandions le rétablissement après dix années de politique sécuritaire », approuve le Syndicat de la magistrature. De même, le projet de loi met l’accent…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur