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Aide à l’autonomie : pour les diplômés, l’accompagnement compte plus que l’allocation

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Au moment du lancement de la « garantie jeune » et des réflexions sur la réforme du RSA (revenu de solidarité active), le Céreq (Centre d’études et de recherches sur les qualifications) publie les résultats d’une expérimentation menée en 2011 et 2012 sur la sécurisation des revenus et l’accompagnement des jeunes diplômés en difficulté d’insertion (1). Et pose la question, éternel débat, de la façon la plus pertinente d’assurer aux moins de 25 ans sans emploi ni formation un minimum de ressources.Le dispositif est une déclinaison du revenu contractualisé d’autonomie (RCA), expérimenté auprès de 5 000 jeunes en difficulté d’insertion inscrits dans les missions locales, avec le soutien du Fonds d’expérimentation pour la jeunesse. Afin d’étudier un système adapté aux diplômés du supérieur, le « revenu contractualisé d’autonomie pour les jeunes di­plômés » (RCA-JD) a été conçu pour 500 volontaires répondant à quatre critères : être titulaire d’au moins une licence, être inscrit depuis plus de six mois à Pôle emploi, ne pas être indemnisé et avoir moins de 24 ans. L’allocation, garantie pendant une année, n’excède pas 250 € par mois. Non cumulable avec le RSA ou une indemnité de service…
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