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L’ADC refuse la marchandisation de l’accompagnement des usagers

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« La question des usagers est d’abord un positionnement éthique et ne peut se réduire à une question marchande », martèle l’Association de directeurs, cadres de direction et certifiés de l’Ecole des hautes études en santé pu­blique (ADC). Tout comme l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux) et l’Apiass (Association professionnelle des inspecteurs de l’action sanitaire et sociale) (1), elle réagit à l’article du projet de loi sur la consommation qui étend le pouvoir de contrôle des agents chargés de la consommation et de la répression des fraudes aux établissements et services sociaux et médico-sociaux. Un texte qui, après avoir été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale le 3 juillet, sera examiné le 10 septembre au Sénat. Les trois associations dénoncent l’assimilation de l’accompagnement des personnes à un bien de consommation courante, qui occulte « toute la part de relationnel, d’expertise et de technicité mise en œuvre dans l’élaboration des projets personnalisés », précise l’ADC. Elle rappelle que la loi de 2002-2 a prévu « la nécessaire évaluation (interne et externe) de l’efficience à apporter aux réponses données…
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