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L’impatience grandit sur la réforme de la politique pénale

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« Le silence qui nous est opposé nous conduit aujourd’hui à considérer que la mort lente des services pénitentiaires d’insertion et probation (SPIP) est inévitable et que notre autorité de tutelle ne tentera rien pour s’y opposer. » Les directeurs et cadres de SPIP, remontés par l’absence de réponse à un premier courrier adressé le 10 mai à la garde des Sceaux et par l’annonce d’un plan pour la sécurité des prisons, tapent de nouveau du poing sur la table pour dénoncer le manque de moyens chronique de leurs services. La nouvelle missive envoyée le 21 juin à la ministre et au Premier ministre par 160 signataires (directeurs départementaux, directeurs de services, chefs de service), soit la moitié des effectifs concernés, syndiqués ou non, sonne cette fois comme une sommation. Elle annonce leur décision d’entamer ce qui s’apparente à une grève du zèle pour exiger que « tout l’encadrement » des 103 SPIP soit reçu avant l’été.Leurs revendications : la mise en place d’un plan « pluriannuel de recrutement pluridisciplinaire et le maintien des contractuels actuellement en poste », la définition « d’une politique de probation claire et ambitieuse pour que la mission d’insertion soit véritablement…
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