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Réforme de la politique familiale : « quid » des services d’aide et d’accompagnement à domicile ?

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L’Union nationale de l’aide, des soins et des services aux domiciles (UNA) se félicite d’un certain nombre de décisions annoncées par le Premier ministre dans le cadre de la réforme de la politique familiale (1) : création de 250 000 places d’accueil, maintien de la progression du Fonds national d’action sociale à hauteur de 7,5 % par an, décision de ne pas supprimer ni modifier le complément de libre choix du mode de garde. Pour autant, l’union s’interroge sur l’absence de référence aux services d’aide et d’accompagnement à domicile pour les familles, « pourtant acteurs majeurs du soutien à la parentalité, notamment dans les situations les plus délicates ». Elle plaide pour l’inscription claire de ces services au sein du socle national de la convention d’objectifs et de gestion en cours de renouvellement entre l’Etat et la caisse nationale des allocations familiales, dans le cadre du soutien à la parentalité. Elle demande également qu’ils soient reconnus comme services sociaux et médico-sociaux et que leur financement soit pérennisé. Enfin, elle souhaite la généralisation d’une démarche associant ces services, les caisses d’allocations familiales et les conseils généraux dans la construction…
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