Troubles des fonctions intellectuelles : la géolocalisation va être expérimentée
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Publié le : Dernière Mise à jour : 17.09.2017Lecture : 3 min.
A la suite de plusieurs décès de personnes âgées ayant échappé à la surveillance des personnels de leurs maisons de retraite, Michèle Delaunay a créé en janvier dernier un Comité national pour la bientraitance et les droits des personnes âgées et des personnes handicapées qu’elle a chargé de plancher notamment sur la question de la géolocalisation des personnes âgées (1). Le 25 juin, l’instance lui a donc remis ses conclusions, qui ont permis d’élaborer une charte sur les bonnes pratiques relatives à l’emploi des dispositifs de géolocalisation en direction des personnes âgées présentant des troubles des fonctions intellectuelles. Dispositifs qui seront expérimentés dès cet été sur plusieurs sites pilotes. Ceux-ci commenceront à être évalués par un comité de suivi de la charte à compter de septembre prochain.Assurer l’équilibre entre droits de la personne et sécuritéPour la ministre déléguée chargée des personnes âgées, cette charte est un « document évolutif, un processus ouvert à une actualisation et une amélioration continues ». Le document pose un principe : pas de recours systématique à la géolocalisation pour toutes les personnes âgées présentant des troubles des fonctions intellectuelles,…
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