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Le gouvernement va revoir le dispositif d’alerte en cas de maltraitance sur personnes âgées ou handicapées

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Le 25 juin, le Comité national pour la bientraitance et les droits des personnes âgées et des personnes handicapées a remis aux ministres déléguées chargées des personnes âgées et des personnes handicapées ses propositions pour améliorer le mode de signalement des situations de maltraitance. Son idée, expliquent Michèle Delaunay et Marie-Arlette Carlotti, est de « créer un dispositif national interministériel, de rassembler et coordonner les acteurs dans une même instance départementale, et de créer un système d’information commun ». Une proposition qui tombe à pic après l’« affaire de Gisors » dans laquelle des photographies humiliantes de personnes très âgées et handicapées ont été prises par certains personnels de l’établissement où elles étaient hébergées.Pour le comité, le nouveau dispositif national de signalement et d’alerte des situations de maltraitance doit « être interministériel au sein d’une gouvernance nationale unique » afin de coordonner tous les acteurs concernés. Il propose en outre de rassembler et de coordonner « tous les acteurs au sein d’une même instance départementale chargée d’instruire et de construire les suites les plus adaptées pour chaque situation ».…
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