Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 1 min.
En 2011, 222 500 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, un nombre stable depuis 2006 après une dizaine d’années de hausse, indique une étude de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES). Plus précisément, le nombre d’IVG a diminué d’environ 1 % entre 2010 et 2011. Le taux de recours à l’IVG s’établit à 14,6 (r) des femmes âgées de 15 à 49 ans en métropole et à 15,1 (r) pour la France entière. Il demeure le plus élevé chez les femmes âgées de 20 à 24 ans (27 (r) en métropole, 50 (r) dans les départements d’outre-mer). La DREES souligne en outre que « les écarts régionaux perdurent, avec des taux plus élevés qu’ailleurs dans les départements d’outre-mer, en Ile-de-France et dans le sud de la France ». Par ailleurs, en métropole, la part des IVG médicamenteuses continue de croître (55 % en 2011) tandis que 13 % des IVG restent réalisées hors établissement hospitalier. Enfin, indique la DREES, « d’après les données provisoires », le nombre d’IVG n’a pas augmenté fin 2012 après l’annonce du déremboursement des pilules de 3e et de 4e générations.DREES – Etudes et résultats n° 843 – Juin 2013 – Disponible sur www.drees.sante.gouv.fr.
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