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Des conseillers d’insertion et de probation « placés » viennent en renfort des SPIP

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Afin d’éviter les ruptures de prise en charge des sortants de prison, un rapport des inspections générales des finances et des services judiciaires a plaidé en 2011 pour la mise en place d’équipes mobiles de renfort en cas de pic d’activité dans les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) (1). Une circulaire du ministère de la Justice met aujourd’hui en œuvre cette préconisation en créant les conseillers pénitentiaires d’insertion et de probations (CPIP) dits « placés ». Un dispositif qui sera évalué à l’issue de sa première année de mise en œuvre.Pour la chancellerie, les CPIP placés constituent une « réponse concrète aux difficultés rencontrées lorsque des absences temporaires de personnels [résultant de circonstances particulières (congé longue maladie, congé maternité, détachement…)] ont pour conséquence de mettre à mal la continuité d’un service ». Ces professionnels ont donc vocation à reprendre en priorité les tâches du ou des agents qu’ils remplacent, sous réserve de l’organisation mise en place dans le service par leur hiérarchie, souligne la circulaire. En pratique, les CPIP placés – dont les fonctions ne peuvent être assumées que par des agents titulaires –…
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