Publié le : Dernière Mise à jour : 29.08.2017Par : Eléonore VariniLecture : 2 min.
Régine, Verena et Christine sont-elles des superwomen ? Ce sont en tout cas trois femmes qui se sortent tant bien que mal d’une situation très compliquée : elles doivent concilier prise en charge d’un parent en perte d’autonomie et éducation de leurs jeunes enfants. « On n’en fait jamais assez », soupire Verena en posant du baume sur les lèvres de sa mère. Cela fait neuf ans que celle-ci, très dépendante, s’est installée chez sa fille, mère célibataire de deux enfants. Les petits n’avaient que 4 et 9 ans. Ceux de Christine ont dû s’installer dans le salon pour laisser une chambre à leur grand-père après que celui-ci, victime d’un accident vasculaire cérébral, a intégré le domicile familial. Quant à Régine, si sa mère est en maison de retraite, elle lui rend visite tous les jours et anime des activités d’art- thérapie dans l’établissement pour l’aider dans sa rééducation. Deux documentaristes ont filmé ces mères de famille, les unes en Allemagne, les autres en France, dans leurs tâches quotidiennes éprouvantes – soins, mais aussi formalités administratives – pour illustrer Le grand écart des femmes qui ne dansent pas. Les trois femmes admettent qu’elles ont souvent donné la priorité…
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