« Répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l’autisme en France tout en offrant un choix aux personnes avec autisme ou autres TED [troubles envahissants du développement] ainsi qu’à leurs familles entre différentes réponses et dispositifs. » Telle est l’ambition du troisième plan « autisme » 2013-2017 présenté le 2 mai par la ministre déléguée aux personnes handicapées, Marie-Arlette Carlotti, et sa ministre de tutelle, Marisol Touraine (1). Doté de 205 millions d’euros, soit 18 millions de plus que le précédent, le plan, accueilli de façon mitigée par les associations (voir ce numéro, page 12), se compose de cinq axes et 37 fiches-actions. Environ deux tiers des crédits sont destinés aux créations de places et un peu moins d’un tiers aux créations de postes (2). L’ensemble des mesures est guidé par un objectif de développeme
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