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Quand le travail a un sens

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Nadya Charvet a décidé de partir à la rencontre de salariés et de patrons heureux. Ceux-là sont satisfaits non pas parce qu’ils gagnent des mille et des cents mais parce qu’ils estiment que ce qu’ils font a du sens, que c’est à la fois intéressant et enrichissant. Dans J’ai même rencontré des salariés heureux, programmé sur France 5, la journaliste dresse d’abord le portrait de Charles-Edouard Vincent, directeur d’Emmaüs Défi (1). Figure du secteur de l’insertion, connu notamment pour être à l’origine des bric-à-brac, mais aussi de par son ? parcours atypique – polytechnicien, passé dans les plus grandes entreprises, il a divisé son salaire par quatre pour rejoindre le mouvement Emmaüs –, « Charly » gère une équipe d’une centaine de personnes rejetées par le monde du travail. Le documentaire traverse ensuite les Jardins de Cocagne, à la rencontre de Jean-Guy Henckel, leur fondateur, lequel a imaginé, il y a plus de vingt ans, avec ces lieux d’insertion sociale et professionnelle les contours d’un nouveau système économique. Les deux hommes ont en commun d’avoir mis en place des méthodes de management des grandes entreprises au service d’activités destinées à ceux dont le monde du travail…
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