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La Commission européenne veut renforcer le droit de libre circulation des travailleurs

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Au lendemain de la décision des autorités helvétiques de restreindre l’accès au marché du travail des citoyens de l’Union européenne (UE), la Commission européenne a présenté, le 26 avril, une série de mesures pour accroître la mobilité des travailleurs dans l’Union européenne des 27. La proposition de directive vise plus particulièrement à lutter contre les discriminations fondées sur la nationalité, en renforçant l’accès des citoyens européens à l’information et aux voies de recours en cas de difficultés pour exercer leur droit de libre circulation (1). Mais, contrairement à ce que réclament plusieurs Etats membres (Allemagne, Autriche, Pays-Bas et Royaume-Uni), la Commission ne s’attaque pas aux problèmes causés par la migration dans l’UE des citoyens inactifs.Prévue par le « paquet pour l’emploi » d’avril 2012 (2), la proposition de directive réaffirme les droits conférés par la législation européenne aux travailleurs et aux membres de leurs familles qui exercent leur droit à la libre circulation dans les domaines suivants : accès à l’emploi, conditions de travail et d’emploi (en particulier rémunérations et licenciements), accès aux avantages sociaux et fiscaux, participation…
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