Publié le : Dernière Mise à jour : 12.06.2017Par : Lydia LagaLecture : 3 min.
Pour la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), « l’expression “parcours de vie” est préférable aux termes de “parcours de soins” (limités aux impacts pour le secteur sanitaire) ou “parcours de santé” (qui risque d’être interprété de façon restrictive aux seuls secteurs sanitaire et médico-social) » (1). « C’est en effet l’ensemble des dimensions de la situation des personnes (y compris la participation sociale, la citoyenneté, l’insertion scolaire et professionnelle…) qui doivent être prises en compte par les acteurs du soin et de l’accompagnement », recommande l’institution dans son rapport d’activité 2012, adopté à l’unanimité lors de son conseil du 23 avril (2). Un document dans lequel elle formule 13 préconisations visant à promouvoir la continuité des parcours de vie des personnes handicapées et des personnes âgées en perte d’autonomie.Une approche globalisée des politiques de santéManque de cohérence de la réponse apportée aux besoins « pluriels » de ce public, fragmentation en sous-secteurs (ambulatoire, hospitalier, social, médico-social, personnes âgées, personnes handicapées, santé mentale…), fragmentation des acteurs (agences régionales de santé [ARS], conseils…
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