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Richard Pierre : « Pour la prévention spécialisée, la question du sport est globale »

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Les acteurs du sport et du social doivent se saisir de la pratique sportive dans une perspective de développement communautaire, estime le président du Comité national de liaison des associations de prévention spécialisée (CNLAPS).
Comment percevez-vous les rapprochements à l’œx0153;uvre entre le travail social et le sport ?Pour toucher les adolescents là où ils sont, le sport est un vecteur idéal, mais ce n’est pas nouveau. Dans toutes les associations, il y a déjà eu, à un moment ou à un autre, des pratiques sportives. En revanche, il devient nécessaire de s’interroger sur leur contenu éducatif. Pour la prévention spécialisée, l’activité sportive, comme toute autre activité, n’est qu’un prétexte qui doit permettre une rencontre authentique avec un groupe de jeunes. Or beaucoup trop d’associations font de l’animation sportive sans poser véritablement la question en termes d’apport éducatif comme cela se fait couramment ailleurs, par exemple dans l’action culturelle. En outre, comme la pratique sportive est un extraordinaire outil de mobilisation, on peut s’étonner qu’elle ne soit pas plus souvent utilisée dans une perspective de développement…
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