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France terre d’asile lève le voile sur les besoins des réfugiés vieillissants

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Migrants forcés à l’exil, comment les réfugiés vivent-ils leur grand âge ? Quels sont les effets du cumul des facteurs liés au vieillissement, à l’immigration et à leur expérience singulière ? Parce le sujet est très peu exploré, France terre d’asile a mené, en partenariat avec la caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), une étude visant à « lever le voile sur la situation des réfugiés âgés, invisibles parmi les invisibles », et à « permettre l’émergence d’une réflexion sur l’amélioration de leur prise en charge » (1).Augmentation des plus de 50 ansL’association s’est appuyée sur une exploitation de l’enquête « Passage à la retraite des immigrés » publiée en 2006 par la CNAV, ainsi que sur les résultats d’une autre conduite en 1991 par l’ancien service social d’aide aux émigrants et sur des données recueillies en 2011 par le réseau Samdarra (2). Elle a aussi mené dix entretiens approfondis avec des réfugiés de plus de 50 ans, naturalisés ou non, ayant tous vécu au moins 20 ans en France. Une première catégorie (de nationalité cambodgienne et chilienne) est arrivée sur le territoire avant 1980 et une autre (de nationalité turque, chilienne, sri-lankaise et congolaise) entre 1980…
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