Hébergement d’urgence : les engagements en termes de capacité d’accueil sont revus à la hausse
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Publié le : Dernière Mise à jour : 15.08.2017Lecture : 2 min.
Accompagné de la ministre du Logement, Cécile Duflot, et de la ministre déléguée chargée de la lutte contre l’exclusion, Marie-Arlette Carlotti, Jean-Marc Ayrault s’est rendu, le 4 avril, dans le centre d’hébergement d’urgence situé rue de Mouzaïa, dans le 19e arrondissement de Paris. Tenu par l’Armée du salut, ce lieu – qui accueille 120 personnes – sera désormais ouvert toute l’année et non plus durant la seule période hivernale. Un lieu que le Premier ministre estime « exemplaire » de la politique que le gouvernement entend mener à l’égard des personnes sans abri ou mal logées. « Nous avons changé la base même de la politique d’accueil […] pour en finir avec la politique du thermomètre, c’est-à-dire que, lorsque la température monte, on ferme les centres d’hébergement d’urgence », a-t-il affirmé. Et pour changer cette donne, « le gouvernement s’est donné des moyens au travers du plan de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale » (1). Les chiffres communiqués par les services du Premier ministre montrent, à cet égard, que les engagements pris en matière de capacité d’accueil ont été revus à la hausse, pour tenir compte des « projets territoriaux de sortie de l’hiver »…
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