L’international, un défi pour les centres de formation
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Par : Caroline Sédrati DinetLecture : 13 min.
Echanges d’étudiants ou de formateurs, programmes de recherche communs ou création de formations européennes : du Liban au Bénin, en passant par nos voisins européens, les centres de formation au travail social français s’ouvrent de plus en plus à l’international. Si l’intérêt d’une telle ouverture fait consensus, la mise en œuvre de ces actions reste difficile tant en termes de montage que de recherche de financement.
A l’époque de la mondialisation, de l’interconnexion et des réseaux, l’heure n’est plus au nombrilisme : les établissements de formation au travail social sont nombreux à développer des actions de mobilité, de coopération ou d’échange entre pays, conformément d’ailleurs aux impulsions européennes (voir encadré, page 25). Mais « il est encore extrêmement difficile d’avoir une vision d’ensemble. Les projets internationaux étant souvent le fait de rencontres individuelles, quand ils ne sont pas tout simplement la chasse gardée des directeurs qui y voient une bouffée d’oxygène, la tendance est à ce que chaque école contractualise dans son coin », relève Manuel Pélissié, directeur général de l’IREIS (Institut régional et européen des…
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