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Evaluation : se méfier du « prêt-à-penser »

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Parfois érigée en épouvantail, l’évaluation ne mérite pas cet opprobre, plaide Laurent Barbe, psychosociologue, consultant au cabinet CRESS (1). Il met en garde contre les généralisations abusives et les positions idéologiques qui conduisent à rejeter en bloc les démarches évaluatives.
« Le livre d’Angélique del Rey sur La tyrannie de l’évaluation, dont les ASH se sont fait l’écho dernièrement (2), se situe dans un esprit proche de celui du livre collectif piloté par Roland Gori qui n’hé?sitait pas à évoquer La folie évaluation (3). Ces réflexions s’inscrivent dans une veine critique, souvent reprise dans le secteur social et médico-social, qui donne plus l’impression d’un “prêt-à-penser” que d’une analyse approfondie des réalités.Leur défaut central est que la majorité de ces argumentaires tendent, même s’ils s’en défendent, à généraliser. Ils font comme si l’évaluation constituait un objet unifié, dont on peut parler au singulier et de manière globale. Pourtant, il est aisé de constater qu’elle constitue une activité généralisée, concernant à la fois des situations individuelles et des formes de l’action collective,…
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