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Le Comité national d’éthique dit non à la création d’une profession d’assistants sexuels

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« Il n’est pas possible de faire de l’aide sexuelle une situation professionnelle comme les autres en raison du principe de non-utilisation marchande du corps humain. » Telle est la position du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), exprimée dans un avis daté du 27 septembre 2012 mais rendu public seulement le 11 mars (1). Ce, alors que le film américain The Sessions vient de replacer la question de l’assistance sexuelle au cœur de l’actualité (2).Saisi en 2011 par Roselyne Bachelot, alors ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale (3), le CCNE était chargé de déterminer « quelles prestations la société serait susceptible d’offrir pour atténuer les manques ressentis dans leur vie affective et leur vie sexuelle par les personnes handicapées ». Et de se prononcer, plus précisément, sur la possibilité de mettre en place en France des services d’accompagnement sexuel, tels qu’il en existe dans les pays voisins (Allemagne, Pays-Bas, Suisse…).Pour le comité d’éthique, il n’y a ni devoir ni obligation de la part de la collectivité ou des individus en matière de sexualité des personnes handicapées en dehors de la facilitation des rencontres et de la vie sociale, telle que garantie…
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