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Au-delà de l’oubli

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Tantôt mélancolique, tantôt enjoué, le film d’animation La tête en l’air (1) met en scène l’histoire d’Emilio, ancien directeur de banque qui, alors que les premiers signes de la maladie d’Alzheimer apparaissent, est placé en maison de retraite par son fils. Il partage sa chambre avec Miguel, filou sympathique, encore en bonne santé. Les deux résidents deviennent amis et vivent des aventures à l’échelle de l’établissement et à l’allure que leur permet leur grand âge. « Ici, quand rien ne se passe, il faut le provoquer », clame Miguel, bien décidé à ne pas faire rimer vieillesse avec ennui. Les deux compères s’immiscent dans les moindres recoins de leur étage, participent à toutes les animations, mais ne se hasardent jamais au deuxième, ce « lieu de damnation » où finissent les malades Alzheimer à un stade avancé. Au fur et à mesure que la mémoire d’Emilio défaille, l’épée de Damoclès se rapproche. Devra-t-il ­quitter Miguel pour l’étage « des causes perdues » ? Son compagnon ne l’admettant pas, il décide d’organiser une fugue. Dans cet épisode tragi-comique, rien ne se passera comme prévu et le retour à la maison de retraite ne tardera pas. L’amitié perdurera néanmoins au-delà de l’oubli…
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