« […] Votre journaliste se pose les bonnes questions : “Les jeunes et adultes polyhandicapés, âgés de 10 à 20 ans, savent-ils qu’ils sont sur scène ? Qu’ils préparent un spectacle ? Comprennent-ils que le geste qu’ils exécutent est lié au son qui sort des enceintes de la sono ?”. Ces interrogations sont ponctuées par un “Rien n’est moins sûr.” C’est avec ces mêmes questions, les mêmes doutes et les mêmes réserves que nous, parents, avons tenté d’interroger l’institution dans laquelle s’est trouvée notre fille Zoé […].
Si nous avions applaudi à la naissance de l’activité OMNI, nous avions soulevé deux remarques […]. La première concernait l’environnement s
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