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Chômage et pauvreté gagnent du terrain dans les zones urbaines sensibles

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La présidente du Conseil d’orientation de l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS), Bernadette Malgorn, a remis, le 16 novembre, le rapport annuel de l’observatoire au ministre délégué à la ville (1). Comme tous les ans, le document propose un panorama détaillé de la situation des quartiers qui bénéficient des dispositifs de la politique de la ville (situation en matière d’emploi, d’éducation, de sécurité, de santé…). A l’heure où le gouvernement prépare une refonte de cette politique, il constate que les 751 ZUS ne parviennent toujours pas à combler leur retard. Pire, les écarts de chômage et de pauvreté s’accroissent entre ces territoires et les autres dans des proportions inquiétantes. En cause : la crise, qui a poussé les familles paupérisées vers les banlieues sensibles. « Il y a un effet ghetto », a souligné François Lamy au cours d’une conférence de presse. « Quand ça va mieux pour une famille, elle tend à quitter sa ZUS et elle est remplacée par une autre famille plus pauvre. » En conséquence, les inégalités s’accroissent encore davantage entre les ZUS et les agglomérations qui les entourent.Un taux de pauvreté trois fois plus élevéC’est une des statistiques…
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